• Vous venez d’atterrir dans une place publique au moyen-âge au milieu des gueux. Un ménestrel assis sur la fontaine en face de vous interpelle la populace dont vous faites partie.
     
    « Bien le bonjour peuple de notre beau pays,
    Installez-vous devant moi, l'histoire d'un autre monde va commencer.  J’espère que vous l’aimerez, car c’est un monde vaste où de nombreuses épopées ont eu lieu durant des millénaires. Personne ne sait si c’est réellement le nôtre…
    N’hésitez pas à me faire une remarque, si quelque chose vous ennuie dans mon récit ou si tout simplement vous l’appréciez.
    Merci à vous. »
    L’homme commence son récit, qu’il espère captivant.


  •  

    Le choc des deux armées se fit avec une grande violence. Nombreux furent les morts-vivants qui disparurent dans cette charge mais cela se fit à un prix insupportable aux yeux du prince. Une dizaine de ses soldats étaient morts sur les piques ennemis avant même d’avoir pu faire le moindre geste. Le prince leva son épée et brisa en deux le crâne du squelette le plus proche, et une dizaine d’entre eux disparurent. On aurait dit que sa lame était allongée par une puissance inconnue. Sa colère l’avait mis dans tous ses états, il attaquait sans relâche l’ennemi.
     
    La jeune femme sauta du rempart et chargea à son tour avec la volonté d’une lionne. Le roi l’a suivie avec la fougue de sa jeunesse. Leur but était de rejoindre les cavaliers qui pour la plupart étaient déjà à pied. Seuls Voron et Arrano combattaient à cheval, de nombreuses flèches volaient vers eux mais aucunes ne semblaient les toucher, comme déviées par une force invisible.
     
    Après plusieurs heures de combat les deux groupes se rejoignirent. Seuls deux survivants au coté du prince… cinq contre encore plusieurs millions de soldats infatigables. Arrano tomba de fatigue car sa magie lui volait toute son énergie. Une jeune soldate le défendit pendant plusieurs minutes avant de tomber à son tour de fatigue. Le Roi ne laissa à aucun moment paraître sa fatigue mais tomba à son tour. La jeune guerrière au katana ne tomba pas et résista protégeant le peu qui restait avec une force que nul ne pourrait se vanter d’avoir.
     
    L’événement eu lieu lorsque Voron tomba à son tour. La jeune guerrière fut la seule vivante, à ce jour, à avoir vu un tel phénomène… Une lumière aveuglante, provenant de Voron, emplit la plaine, la jeune guerrière fut aveuglée par cette vision. Lorsqu’elle retrouva la vue, il ne restait aucun mort-vivant, une couche de poussière recouvrait le sol. Les alentours étaient beige où que le regard se posait.
     
    Après examen des cadavres seuls trois étaient vivants, la jeune guerrière commença un travail fastidieux et peu enviable : aligner les morts pour pouvoir permettre les rituels ancestraux. Les trois survivants ne tarderaient pas à se réveiller, et découvriront un noble mort dans une noble mort. En effet le Roi était mort !

    3 commentaires
  • Bonjour tout le monde je reprend l'écriture désolé de cette pose qui n'est pas de mon choix. Voilà la fin du chapitre 3. Bonne lecture ^^

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    Les morts-vivants étaient en réalité une armée de squelettes, et le seul moyen de les détruire était de les réduire en cendre. Il existait une chose que personne ne savait avant cette guerre, car personne ne regardait les morts au combat pendant une bataille. Oui les morts, ainsi les armées des squelettes se renforçaient de plus en plus aux cours des batailles car leurs ennemis morts les rejoignaient. Ainsi furent pris les remparts des villes. Les morts tués, par des pluies de flèches des squelettes, sur les remparts se transformaient en morts-vivants à leur tour. Et les remparts se retrouvaient vite aux mains des morts-vivants. <o:p> </o:p>

    Le Roi de Grortark perdu ainsi la bataille aux portes de Barlum. La ville fortifiée empêchant tout accès terrestre au royaume d’Ortork. Ce dernier au centre de la bataille fut encerclé par de nombreux squelettes. Une femme sortie de nulle part avec en grand katana. Une aura noire s’échappait de l’arme. Elle réduisit en cendre les squelettes à sa proximité, son arme était-elle magique ?<o:p> </o:p>

    Tous les squelettes sur le mur se dirigèrent vers les deux résistants. Sauvant ainsi le roi, ils firent bientôt front à deux mais le nombre d’ennemi était trop important. Ils se battirent avec honneur et le Roi pulvérisant les os des ennemis grâce à sa masse d’arme. La jeune femme brune se mouvant avec agilité et grâce tranchait les morts-vivants, qui tombaient en cendre. Mais sa petite armure noir ne la protégeait pas beaucoup, il était donc dangereux pour elle de se faire toucher.<o:p> </o:p>

    Ils allaient bientôt mourir quand tous les squelettes se retournèrent d’un coup. Au loin une cinquantaines de cavaliers arrivaient, chargeant sur l’armée des morts. Ils ressemblaient à des démons en noir et rouge. Un grand drapeau les survolait, un aigle rouge sur fond noir. Le drapeau du prince, le bonheur dans les yeux du roi se transformèrent en horreur. Les cavaliers partaient aux suicides, étaient-ils fou ?<o:p> </o:p>

    Les cavaliers chargèrent l’ennemi de face, ils n’avaient aucun espoir de victoire. Les morts-vivants étaient invincibles pour de simples soldats. Mais cela les hommes d’Arrano n’en avaient que faire. Ils galopaient derrière leur chef sans crainte faisant face à la mort. À la surprise de tous sauf du prince, une aura se leva des armes des soldats, elle était aussi rouge que le sang. Les soldats ne surent pas qu’ils leur permettraient de détruire les squelettes, mais cela leur donna encore plus de courage.<o:p> </o:p>

    Tous les squelettes chargèrent à leur tour les cavaliers abandonnant les remparts et toutes les autres activités en cour. Ainsi le duel de cinquante cavaliers contre plusieurs millions de morts-vivants allez commencer.


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