• Partie 3

     

    Un cri de douleur déchira le ciel, si strident qu’un humain normal serait mort sur le coup s’il passait dans un rayon de dix kilomètres. Il fut suivit par un rire terrible.

    Dans une pièce sombre, L’ombre était debout face à une femme enchainée. Du sang sortant des lèvres de cette dernière, pourtant aucune blessure physique ne semblait apparaitre sur son corps.

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    « -Alors Iria, ou plutôt Lara, on n’aime pas les souffrances des humains ? Dit l’ombre d’une voix grave.

    -Va … chier salaud ! Cria Lara en crachant du sang au milieu de sa phrase.

    -Hahahaha ! Une si belle femme dire de telles grossièretés ! » Ricana l’ombre.

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    Une lueur apparue dans le dos de l’ombre, une autre femme était debout. Brune et d’une beauté sans égal. C’était Gidori, recouverte d’une lumière blanche et libérée de ses liens. L’ombre sauta en arrière effrayé.

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    « -Comment es-possible ?  Non je ne peux pas y croire ! Non tu ne peux être Gidori ! La voix de l’ombre redevenait humaine au fur et à mesure qu’il parlait.

    -Ombre, ne touche plus à mon gardien ! rétorqua Gidori d’une voix sans appel.

    -Pourquoi es-tu là ? Les dieux m’ont assuré que vous n’étiez que deux jeunes mages.

    -Ils t’ont menti ! Et ce n’est pas la première fois si je me souviens bien, humain ? Dit-elle avec un sourire, écœuré de cet homme. Mais alors est-il un humain finalement ?

    - Je ne te reperdrais pas, tu va rester ici ! Cria t-il ayant reprit toute sa grandeur.

    - Adieu ombre. D’autres ont besoin de nous ! »

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    Une onde choc brisa les murs et deux grandes ailes blanches sortirent du dos de Gidori. Elle s’envola en attrapant au passage Lara. Une pleine lune éclairée la nuit à l’extérieur.

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    « Noooooooooooooooooooooooooooon ! Odol, pourquoi m’avoir trahi toi aussi? »

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    Tel fut la détresse de l’ombre voyant, impuissant, ses deux proies fuir. Et constatant la trahison de son Dieu.

    Mais Odol n’y était pour rien, et tous les volcans des terres connues s’allumèrent en même temps. La colère d’Odol avait atteint son maximum. De plus il ne trouvait pas les deux responsables de ses attaques sournoises.


  • Commentaires

    1
    Cemenwen
    Dimanche 24 Août 2008 à 22:33
    Olala... Il s'en passe des trucs !
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